Les contraintes administratives et réglementaires sont nombreuses, avec entre autres, les règles d’urbanisme. Car, être agriculteur ne donne pas automatiquement droit à construire en zone agricole. L’installation envisagée doit être « nécessaire à l’exploitation agricole ». Les impôts fonciers pourront également être différents. L’exonération de taxes foncières sur les propriétés bâties par exemple, ne s’étend pas systématiquement aux locaux affectés aux activités accessoires de l’activité agricole. Et avez-vous pensé à parler de votre projet à vos voisins pour désamorcer tout conflit futur ? Au bailleur, à votre assureur ?
La nouvelle activité doit aussi être bien étudiée sur le plan financier, avec un prévisionnel sérieux prenant en compte non seulement les investissements et les risques financiers, mais aussi l’accès au marché, le temps consacré à cette activité, etc.
Selon l’importance de cette nouvelle activité, une étude juridique, sociale et fiscale est indispensable pour optimiser vos futurs revenus ainsi qu’un accompagnement, dans la durée, adapté. Un conseil pluridisciplinaire (qui maîtrise tous les types d’activités économiques) est une vraie valeur ajoutée. Votre conseiller et ses équipes doivent tout connaître du secteur agricole et disposer en parallèle d’une grande expérience dans les secteurs du commerce, de la vente, de l’environnement, du tourisme…
Les cabinets membres d’AGIRAGRI travaillent sur tous les secteurs d’activités industriels, commerciaux, artisanaux, libéraux et sont en même temps de vrais spécialistes du secteur agricole, viticole et équin. Trouvez ci-dessous le cabinet le plus proche de chez vous ou contactez-nous.